Box-office : c’est la folie pour les jouets!

21 juin, 2010

Dire qu’ils étaient attendus de pied ferme n’est probablement pas assez lourd de signification. Woody, Buzz Lightyear et leurs joyeux amis de Toy Story 3/Histoire de jouets 3 ont littéralement fait sauter la banque dans les guichets des salles obscures nord-américaines à leur premier week-end, raflant pas moins de 110 millions $US en trois jours seulement! Cette impressionnante somme représente d’ailleurs un record pour le studio d’animation Pixar.

Avec ce spectaculaire résultat, Toy Story 3/Histoire de jouets 3 devient par le fait même le troisième long métrage d’animation – après les deuxième et troisième volets de la franchise Shrek - à franchir le cap des 100 millions $US lors de son arrivée sur grand écran. Il faut dire que cela faisait 11 ans que les fans attendaient le retour des colorés et débrouillards jouets.

Inutile de dire que la compétition n’a pas fait le poids devant eux. Le détenteur du sommet du box-office - The Karate Kid/Le Karaté Kid - a été forcé de céder son trône, mais a malgré tout amassé 29,9 millions $US de vendredi à dimanche, s’installant en deuxième place des meilleures recettes et surpassant lui aussi le cap des 100 millions $US de revenus depuis son arrivée dans les cinémas.

Suivent derrière le film d’action The A-Team/L’agence tous risques (14,4 millions $US), la comédie Get him to the Greek (6,1 millions $US) et Shrek Forever After/Shrek: il était une fin (5,62 millions $US). Ce dernier long métrage continue d’amasser les billets verts, ayant maintenant aisément surpassé le magot des 200 millions $US, uniquement en Amérique du Nord.

Mais où se retrouve donc Jonah Hex, cette production d’action dotée d’un budget de 40 millions $US et mettant en vedette Josh Brolin et la séduisante Megan Fox? Eh bien elle se pointe au septième rang. Sa maigre récolte de 5,38 millions $US (sur un total de 2825 écrans sur le continent) a de quoi laisser pantois. Ni un battage médiatique important, ni l’une des femmes les plus sexy de la planète, n’auront réussi à inciter les cinéphiles à dépenser…

Pour le moment, cet été en salles se résume en un mot : animation.


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