Joan Collins

Biographie de Joan Collins:

JOAN COLLINS

Date de naissance: 23 mai 1933

Originaire de Londres, en Angleterre, Joan Collins est la fille d’un agent d’artistes.

Elle est montée pour la première fois sur les planches à l’âge de neuf ans dans la pièce The Doll’s House pour laquelle où lui a fait jouer un garçon.

Fruit du hasard ou d’un travail acharné, deux des rêves d¹enfance de la Britannique se sont réalisés: le premier lorsqu’elle a eu la chance de s’exprimer sur Broadway, et le second quand on lui a confié le rôle d’Amanda le temps de la pièce Private Lives de Noel Coward en 1991.

Avec les années, Joan Collins est devenue une actrice sexy et éblouissante qu’on associe à Hollywood. Malgré bien des revers personnels et professionnels, elle a toujours à s’en sortir dans ce panier de crabes qu’est l’industrie du spectacle.

Son baptême devant les caméras a eu lieu quand elle est devenue une concurrente à un concours de beauté dans le film Lady Godiva Rides Again (1951). Elle a plus tard fait des débuts prometteurs aux États-Unis en jouant la séductrice égyptienne sur le plateau de Land of the Pharaohs (1955). Cette prestation a débouché sur un contrat avec la 20th Century Fox.

Bien qu’on lui a proposé quelques bons rôles dramatiques lors du tournage de films comme Girl on the Red Velvet Swing (1955) et Rally Round the Flag, Boys! (1958), on lui a plus souvent demandé d’incarner de jeunes filles têtues ou des femmes fatales, ce qui a amené la critique à la considérer à maintes reprises comme un simple élément de décor. Rien de plus.

Après s’être jointe à la distribution de longs métrages sans intérêt durant les années 1950, Joan Collins s’est fait remarquer lors de ses premiers pas à la télé au début des années 1960, jouant les dévoreuses d¹hommes. À cette époque moment-là, tout semblait indiquer qu’elle demeurerait une starlette à jamais.

Les années 1970 ont quant à elles été synonymes de films d¹horreur à petit budget et d’érotisme.

Quand elle ne jouait pas, les excès de sa vie privée ont fait la manchette: si son autobiographie, intitulée «Past Imperfect», ne ment pas, elle aurait flirté avec tout ce qui bouge à Hollywood.

De simple actrice, elle s’est métamorphosée en star lorsqu’elle a décroché, en 1981, le rôle de l’avide et séduisante Alexis Carrington dans le feuilleton Dynasty diffusé partout dans le monde. Cette série ne pouvait tomber mieux, car à l'époque, la carrière de Joan Collins semblait se trouver dans une impasse. Au total, cette dernière a franchi la barre des 200 épisodes aux côtés des membres de l’équipe.

De plus, elle a travaillé sous les ordres de Kenneth Branagh quand est venu le temps pour lui de mettre en images le scénario du film A Midwinter’s Tale (1995) dans lequel elle incarne une agente de théâtre. Elle s’est aussi transformée en Mme Heidelberg pour The Clandestine Marriage (1999) et a donné vie à Pearl, la mère de Wilma, lorsqu’a pris forme la comédie The Flintstones in Viva Rock Vegas (2000).

Au cours des années 2000, l’actrice a continué à garnir sa feuille de route au petit écran, mais également grâce à la sortie de productions cinématographiques telles que la comédie Absolutely Fabulous: The Movie (2016) mettant en vedette Jennifer Saunders et Joanna Lumley. On lui a aussi demandé de porter la comédie The Time of Their Lives (2017).

En 2018, elle a joint sa voix à celles des autres acteurs de la primée série American Horror Story pour quatre épisodes de la huitième saison.

À l’instar de bien d¹autres vedettes, Joan Collins s’est mariée à moult reprises. En 1952, elle a épousé Maxwell Reed dont elle a divorcé quatre ans plus tard. Elle a ensuite uni sa destinée à celle de l’acteur Anthony Newley. Cette union, qui a permis la naissance de deux enfants (Tara et Sacha), a été un peu plus longue que la précédente. Après un second divorce en 1971, la principale intéressée a décidé de convoler en justes noces au bras de Ron Kass. Leur mariage a duré 12 ans. L’ancien couple a eu une fille prénommée Katy. Il faut également ajouter que l’Anglaise a succombé au charme de Peter Holmes en 1985, mais ils ont été ensemble légalement que pendant deux ans.

Joan Collins n’est pas la seule enfant douée de sa famille. Sa sœur cadette, Jackie, est une romancière à succès dont les livres «The Bitch» et «The Stud» ont été portés à l¹écran avec l’actrice en tête d’affiche.

Filmographie:

The Time of Their Lives (2017)
Absolutely Fabulous: The Movie (2016)
Molly Moon and the Incredible Book of Hypnotism (2015)
Ozzie (2006)
Ellis in Glamourland (2004)
The Flintstones in Viva Rock Vegas / Les Pierrafeu à Rock Vegas (2000)
The Clandestine Marriage (1999)
The Line King: The Al Hirschfeld Story (1996) A Midwinter¹s Tale / Au beau milieu de l'hiver (1995)
Decadence (1994)
Homework (1982)
Nutcracker (1982)
The Bitch (1979)
A Game for Vultures / Le putsch des mercenaires (1979)
Sunburn / Coup de soleil (1979)
The Big Sleep / Le grand sommeil (1978)
The Stud (1978)
Zero to Sixty / Les fous du volant (1978)
Poliziotto senza paura / Magnum Cop (1978)
Empire of the Ants / L'empire des fourmis géantes (1977)
The Bawdy Adventures of Tom Jones (1976)
Alfie Darling (1975)
The Devil Within Her (1975)
Il Richiamo del lupo (1975)
L'Arbitro (1974)
Dark Places (1974)
Tales That Witness Madness (1973)
Fear in the Night / Sueur froide dans la nuit (1972)
Tales from the Crypt / Histoires d'outre-tombe (1972)
Inn of the Frightened People (1971)
Quest for Love (1971)
The Executioner / L'exécuteur (1970)
Up in the Cellar (1970)
If It's Tuesday, This Must Be Belgium / Si c¹est mardi, c¹est donc la Belgique (1969)
Can Hieronymus Merkin Ever Forget Mercy Humppe and Find True Happiness? (1969)
Subterfuge (1969)
Warning Shot (1967)
La Congiuntura / Cent millions ont disparu (1965)
The Road to Hong Kong (1962)
Seven Thieves / Les sept voleurs (1960)
Esther and the King / Esther et le roi (1960)
The Bravados (1958)
Rally 'Round the Flag, Boys! / La brune brûlante (1958)
Sea Wife / L¹épouse de la mer (1957)
Wayward Bus, The / Les naufragés de l'autocar (1957)
Island in the Sun (1957)
Stopover Tokyo / Espionnage à Tokyo (1957)
The Opposite Sex (1956)
The Virgin Queen / Le seigneur de l'aventure (1955)
The Girl in the Red Velvet Swing / La fille sur la balançoire (1955)
Land of the Pharaohs / La terre des pharaons (1955)
The Good Die Young (1954)
Our Girl Friday (1953)
Decameron Nights / Les pages galantes de Boccace (1953)
The Square Ring (1953)
The Tough Guy (ou) Cosh Boy (1953)
Turn the Key Softly / Tournez la clé doucement (1953)
I Believe in You (1952)
Judgment Deferred (1952)
The Woman's Angle (1952)
Lady Godiva Rides Again (1951) (son nom n'apparaît pas au générique)

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